Altermondes est un média citoyen qui, à travers une revue trimestrielle, deux hors séries par an et un site internet, s’intéresse aux problématiques internationales sous l’angle de la solidarité et de la citoyenneté, du développement durable, des droits humains… Il favorise la compréhension des enjeux internationaux, éclaire les projets, les mobilisations et les alternatives citoyennes et promeut des comportements et pratiques plus justes, plus responsables et plus solidaires.

Pour proposer un autre regard sur le monde, Altermondes donne la parole aux personnes et aux organisations qui, chaque jour, agissent sur le terrain, pour construire un monde plus juste (ONG, associations, syndicats, mouvements sociaux, collectivités territoriales…). Les contenus éditoriaux naissent de la rencontre et de l’échange entre des journalistes et des acteurs de la société civile, venus des quatre coins du monde et experts sur les sujets abordés.

Le 29 mars 2014, Altermondes est devenu le premier titre de presse généraliste édité par une Société coopérative d’intérêt collectif (Scic), une coopérative qui réunit un sociétariat à la diversité unique dans le monde de la presse

  • Une quarantaine d’organisations de la société civile
  • Une trentaine de professionnels des médias et de l’information
  • Une centaine de lectrices et lecteurs
  • Son équipe salariée

Notre ligne éditoriale

Altermondes est née en 2005 de la volonté d’associations de solidarité internationale de contrebalancer le traitement par les médias dominants de l’actualité internationale. Trop souvent, à l’époque et encore aujourd’hui, le monde est vu sous l’angle des grands enjeux géopolitiques et économiques internationaux, des intérêts des grandes puissances, négligeant dès lors quantité de problématiques, d’analyses et de pays, notamment du Sud ou de l’Est. Surtout, ce traitement donne rarement à voir et comprendre les dynamiques citoyennes à l’œuvre pour construire un monde juste, soutenable et solidaire. Le premier numéro de la revue est paru comme en prolongement de l’engouement suscité par le Forum social mondial et le mouvement altermondialiste, avec l’ambition de mieux faire connaître à un public large les analyses, les propositions, les résistances et les projets portés par les organisations de la société civile, dans toute leur diversité, aux quatre coins du monde.

Le projet éditorial d’Altermondes se distingue de celui d’autres médias par trois principes fondamentaux qui en constituent l’ADN :

  1. Proposer un autre regard sur le monde en partant des points de vue des acteurs des sociétés civiles, avec lesquels Altermondes partage des valeurs (associations de solidarité internationale, de défense des droits humains, d’éducation populaire, écologistes, féministes mais aussi syndicats, mouvements sociaux, structures de l’économie sociale et solidaire, collectivités territoriales, médias, chercheurs…).
  2. Donner la parole, voire la plume, prioritairement à celles et ceux qui en sont privés, en raison de leur éloignement géographique, de leur origine sociale, de leur appartenance à des minorités discriminées, ou parce qu’ils développent une réflexion ou des pratiques à contre courant de la pensée dominante.
  3. Privilégier une démarche collective et participative de production et de diffusion de l’information, associant organisations de la société civile, professionnels des médias et de l’information, simples citoyennes et citoyens.

Altermondes défend l’idée d’une information porteuse de valeurs, créatrice de lien social et vectrice de changements. Le rôle d’un média ne se limite pas à la production et à la diffusion de contenus. Il doit ouvrir des espaces de dialogues et d’échanges entre les différentes composantes de la société, ici comme ailleurs, au Nord, au Sud et à l’Est, concourir au développement et à la valorisation des réflexions, des mobilisations et des actions collectives – en les interrogeant, en les confrontant les unes aux autres – et, surtout, croiser les regards et donner la parole à celles et ceux qui l’ont peu, pas, voire plus, et qui sont souvent les principaux concernés par les grands enjeux de société.

Notre histoire

« À la grâce de Dieu ! » Si elles avaient été confessionnelles, c’est sûrement le cri qu’auraient lancé les cinq organisations qui, en ce 15 mars 2005, venaient de lancer Altermondes, la première revue trimestrielle de solidarité internationale. Deux ans de longues discussions avaient été nécessaires, entre les 53 associations de solidarité internationale composant le CRID, avant que le feu vert ne soit donné. Le scepticisme de certaines organisations était fort autour des fonds baptismaux.

Le CRID, Frères des Hommes, Peuples Solidaires, Ritimo et Terre des Hommes France sont les cinq organisations ayant fondé la revue. C’est en 2008 qu’Oxfam France a rejoint la coédition, que Terre des Hommes France et Frères des Hommes avaient quitté respectivement en 2005 et 2006.

Force est cependant de reconnaître que le défi était grand. Quelle inconscience, à l’aube du XXIème siècle, de lancer une revue papier, alors que le monde ne jurait plus que par l’internet ! Quelle audace d’imaginer une revue sur la solidarité internationale, quand les médias vouent un culte à la règle du « mort kilométrique » qui veut qu’un mort dans son village intéressera toujours plus le lecteur que dix morts dans le pays voisin ou mille morts en Haïti (Loin des yeux, loin du cœur) ! Était-ce aussi de la responsabilité du monde de la solidarité internationale de créer un média ? En était-il capable ? En avait-il les moyens ? Et c’est l’engouement suscité par le processus du Forum social mondial et le mouvement altermondialiste, alors en pleine ascension, qui emporta la décision.

À nulle autre pareille

Altermondes est née de la volonté d’associations de solidarité internationale de contrebalancer le traitement de l’actualité internationale par les médias dits dominants. Trop souvent, à l’époque (et malheureusement encore aujourd’hui), le monde était vu sous l’angle des grands enjeux géopolitiques et économiques internationaux, des intérêts des grandes puissances, négligeant dès lors quantité de problématiques, d’analyses et de pays, notamment ceux du Sud ou de l’Est. Surtout, ce traitement donnait rarement à voir et comprendre les dynamiques citoyennes à l’œuvre pour construire un monde juste, soutenable et solidaire. Et c’est pour cettRétrospective Altermondes 2005-2014e raison que, depuis sa création, Altermondes propose tous les trois mois un autre regard sur le monde, en partant du point de vue des sociétés civiles aux quatre coins de la planète.

Mais si Altermondes s’est affirmée comme une revue à nulle autre pareille, c’est surtout parce qu’elle s’acharne à donner la parole et la plume à celles et ceux qui en sont privés, parce qu’ils vivent à l’autre bout du monde, en raison de leur origine sociale ou de leur appartenance à une minorité, ou parce qu’ils développent une réflexion ou des pratiques à contre-courant de la pensée dominante. « Une revue est un pari permanent. Nous voulons lancer le pari de l’expression des dynamiques et des créations citoyennes et solidaires à toutes les échelles du monde », écrivait Gustave Massiah, directeur de la publication d’Altermondes, dans le premier édito de la revue.
Mieux encore, c’est parce que, dans un monde où la mise en concurrence est parée de toutes les vertus, Altermondes affirme le choix de la coopération et défend une démarche collective et participative de production de l’information. Entre 2005 et 2014, Altermondes a réalisé 38 numéros, 17 hors séries, 1 guide pratique et pour ce faire, elle a associé plus de 107 organisations de la société civile (associations et syndicats), une multitude de collectivités territoriales, des professionnels des médias et de l’information, de simples citoyens…

Une réinvention permanente

Altermondes est depuis toujours un média citoyen qui produit une information pour et avec les acteurs de la société civile et les citoyens. C’est cet esprit de partenariat qui a permis à la revue d’exister et de s’affirmer dans le paysage, sans jamais se renier, en se réinventant en permanence. En juillet 2005, à peine quelques mois après la parution du premier numéro, Altermondes s’envole pour Fana, au Mali, qui accueille la quatrième édition du Forum des peuples, « un espace populaire d’expression et de construction d’alternatives des mouvements sociaux africains ». La parole à celles et ceux qui prennent leur destin en mains et que l’on n’entend pas. Il n’en faut pas plus à Altermondes pour lui consacrer son tout premier hors série. Début 2006, au lendemain des révoltes des banlieues françaises, Altermondes décide de partir en Seine-Saint-Denis, là encore pour donner la parole à celles et à ceux que les médias ignorent : « Parce qu’à force de ne s’y aventurer que pour récolter du sensationnel bon marché, au mépris de ses habitants, de ce qu’ils vivent, de ce qu’ils créent, de ce qu’ils portent, les médias ont tout simplement renié leur raison d’être au profit de l’information spectacle », expliquait-on alors dans l’édito du hors série qui suivra, un numéro rédigé en grande partie par douze jeunes du département, qu’Altermondes avec le soutien de confrères (Afrik.com, Afriscope, La Vie, L’Humanité, Libération, Regards, Respect Magazine et Saphirnews.com) avait formé à l’écriture journalistique. Depuis, la revue n’a eu de cesse de travailler avec des jeunes de quartier, jusqu’à couvrir avec une équipe de jeunes reporters citoyens français et tunisiens le Forum social mondial de Tunis en 2013. Et la litanie des exemples pourrait continuer mais les pages qui suivent suffiront à donner un aperçu de la richesse de cette belle et folle aventure qu’est Altermondes, l’histoire d’un « petit » média qui en 2014 a fait un nouveau pari en se transformant en coopérative pour porter toujours plus haut et plus fort la voix, les valeurs et les propositions des acteurs de la société civile, aux quatre du monde. À la grâce de Dieu ? Qui sait…

Notre coopérative

 L’information est un bien commun et l’existence de médias indépendants de qualité relève d’une responsabilité collective.

QU’EST-CE QU’UNE SCIC ?
Créées par la loi 2001-624 du 17 juillet 2001, les Sociétés coopératives d’intérêt collectif (Scic) sont des entreprises coopératives qui ont pour mission d’être économiquement efficace et socialement utile. Cette responsabilité sociale s’exprime à travers leur gouvernance qui permet à des personnes physiques ou morales, privées ou publiques, d’entreprendre ensemble. Des salariés, des bénévoles, des clients, des collectivités locales… Les Scic permettent d’associer l’ensemble des parties prenantes d’un même projet à sa gouvernance. Fin avril 2014, on comptait 361 Scic en activité en France. Un chiffre en croissance constante : entre 2010 et 2012, 40 % de nouvelles Scic ont vu le jour.

Le 29 mars 2014, Altermondes est devenu le premier titre de presse généraliste édité par une Société coopérative d’intérêt collectif (Scic). Cette transformation est tout sauf un changement cosmétique. Elle s’inscrit dans une double conviction qui nous anime depuis longtemps : l’information est un bien commun et l’existence de médias indépendants de qualité relève d’une responsabilité collective que doivent assumer les professionnels des médias et de l’information mais aussi les organisations de la société civile, les lectrices et lecteurs. Pourquoi faudrait-il en effet la laisser aux seuls groupes de presse ? C’est ce défi que la Scic S.A. Altermondes Informations veut tenter de relever, en proposant un nouveau type de média, porté par une structure qui rassemble l’ensemble de ces parties prenantes. En se transformant en Scic, Altermondes devient un média citoyen – peut-être le premier – au sens plein et entier du terme.

Citoyen d’abord dans ses contenus, puisque nous défendons, à travers nos choix éditoriaux, l’idée d’une information porteuse de valeurs, créatrice de lien social et vectrice de changements.

Citoyen aussi dans sa façon de produire l’information, puisque nous construisons nos publications, en associant les acteurs compétents sur les questions que nous souhaitons abordons. Un comité de rédaction composé de dix sociétaires est élu tous les deux ans par l’Assemblée générale. Il est ouvert aux professionnels des médias, évidemment, aux organisations de la société civile mais aussi aux abonnés. Tout le monde peut-il donc être journaliste ? Non, le journalisme est un métier précieux, qui demande compétences et savoir-faire. En revanche, tout le monde peut participer à la production de l’information. C’est pourquoi nous avons mis en place, avec l’Ecole des métiers de l’information, un module de formation à destination des membres du comité de rédaction, afin que chacun puisse y participer en y donnant le meilleur de soi-même. Car, nous sommes convaincus que c’est aussi du croisement et de la confrontation des regards que naît une information pertinente.

Citoyen, enfin, dans sa gouvernance, puisque l’Assemblée générale qui fixe les orientations de notre média rassemble dorénavant un sociétariat à la diversité unique dans le monde de la presse et qu’elle élit un conseil d’administration représentatif de la diversité de son sociétariat.

Nos sociétaires

Altermondes est le premier media généraliste porté par une Société coopérative d’intérêt collectif. La Scic S.A. Altermondes Informations rassemble cinq catégories de sociétaires, tous soucieux de l’existence de médias libres, pluralistes, indépendants et socialement responsables, de médias à même de nourrir le débat public, dans un monde interdépendant et complexe.

Catégorie des organisations de la société civile (43)

Aide & Action • Association pour le tourisme équitable et solidaire (ATES) • Attac France • Agronomes et Vétérinaires sans frontières (AVSF) • Basic • CFDT • CFSI • CGT • Coalition Plus • Association Tiers Monde Communes Solidaires • Coordination Sud • CRID • Eau Vive • Educasol • Emmaüs international • Ethiquable • Etudiants & Développement • Fédération Accueil Paysan • Fédération Artisans du Monde • Fédération Léo Lagrange • FIDH • Fondation Sciences Citoyennes • Forim • Les Francas • France Libertés • France Volontaires • Frères des Hommes • GRDR • Gret • IFAID • One France • Oxfam France • Peuples Solidaires • Plate-Forme pour le commerce équitable • RADSI • Réseau Action Climat • Ritimo • Sherpa • SNESup • Solidarité laïque • Solthis • Terre des Hommes France • Union syndicale Solidaires

Catégorie des professionnels de l’information (31)

Alliance internationale de journalistes • Ecole des métiers de l’information (EMI – CFD) • Syfia international • Anne-Lucie Acar • Frédéric Adam • David Baché • Joy Banerjee • Stéphanie Barzasi • Louise Bartlett • Mathieu Brancourt • Fabrice Bugnot • Hélène Bustos • Julie Chansel • Patrick Chesnet • Luciane Delefortrie • Jean-Félix Fayolle • Erik Lavarde • Camille Liewig • Anne Marchand • Stéphanie Marseille • Raphaël Mège • Jean Merckaert • Philippe Merlant • Camille Millerand • Philippe F. Nai • Romain Philippon • Sarah Portnoï • David Prochasson • Cédric Rossi • Jean-Yves Serrand • Flore Viénot

Catégorie des abonnés (98)

Eric Alsruhe • Catherine André • Laure Araque Goy • Henry Arnoux • Camille Aupiais • Julie Baron • Flora Barré • Julien Barré • Rémi Barré • Julien Bayou • Pierre Bioteau • Dominique Blondel • Menotti Bottazzi • Anne Boyer • Odette Brenguier • Didier Bronisz • Kelly Brouns • Odette-Luce Bouvier • Bruno Callebault • Alain Cavelier • Jean Charles • Christopher Chermont • Patrick Cheveau • Pierre Cleyet-Merle • Thérèse Collinet • Carlos Cortes Zea • Pierre Coumian • Vincent David • Frédéric Debomy • Carlos de Freitas • Natalia Dejean • Frédéric Delhommeau • Serge Demailly • Yves Deniaud • Françoise Denis • Antoine Dulin • François Dupont • Marie Duru-Bellat • Louise Eveno • Etienne Fallot • Michel Faucon • Bernard Faure • Geneviève Faure • Anne-Marie Flacelière • Marie-France Franqueville • Eliane Genève • Sébastien Godinot • Bernard Gourmelen • Vincent Guerpillon • François Guillou • Jihane Habachi • Caroline Hauss • Jean-François Hilt • Patrick Hubert • Liliane Jagueneau • Jean-Luc Jamet • Cédric Jolivet • Danièle L’Aot • Anne-Marie Le Gall • Anne-Marie Leprévost • Sylvie Liewig • Jean-Claude Mairal • Adeline Marc • Raymond Mathieu • Anne-Marie Marvaud • Adeline Maziers • Myriam Merlant • Pierre Merville • Bernard Métais • Didier Minot • Geneviève Molina • François Moreaux • Jean-Luc Pelletier • Laurence Pitois • Françoise Quiniou • Aline Raby • Marie-Line Ramackers • David Réaux • Marc Rebuschi • François Rivals • Denis Roger • Philippe Savoye • Jean-Marc Schiano • Michèle Sénégas • Annie Simon • Anne-Marie Sonnet • Jean-Paul Sornay • Fabienne Thiry • Françoise Tostain • Lise Trégloze • Isabelle Vauquois • Paul Vermande • Laurence Veyne • Grégory Villain • Josiane Vincensini • Francis Vite • Pierre Volovitch • Rosie Westerveld

Catégorie des salariés (2)

David Eloy, rédacteur en chef • Andrea Paracchini, journaliste

Catégorie des soutiens (3)

Garrigue • Catherine André • Sergio Paracchini

Notre fonctionnement

Notre conseil d’administration

La coopérative est administrée par un conseil d’administration composé de 3 à 11 membres. La répartition des sièges au sein du conseil d’administration est équilibrée entre la catégorie des organisations de la société civile et celle des professionnels de l’information (quatre sièges pour chacune), le reste des sièges se répartissant entre les autres catégories d’associés et les non associés.

L’Assemblée générale du 29 mars 2014 a élu au conseil d’administration les personnes suivantes :

  • Catégorie des professionnels de l’information : École des métiers de l’information, Syfia International, Fabrice Bugnot et Anne Marchand
  • Catégorie des organisations de la société civile : Coordination SUD, CRID, Oxfam France et Plate-Forme pour le commerce équitable
  • Catégorie des salariés : David Eloy
  • Catégorie des abonnés : Flora Barré
  • Catégorie des soutiens : Catherine André

Le conseil d’administration a élu David Eloy, Président Directeur Général.

Notre comité de rédaction

Le comité de rédaction est l’instance en charge de la définition et du choix des contenus éditoriaux qui sont publiés dans les différents supports d’information que produit Altermondes. Le choix des contenus éditoriaux est arrêté en fonction de la ligne éditoriale, des enjeux d’actualité et de l’intérêt pour le lectorat. La participation au comité de rédaction ne confère aucun droit particulier à ses membres sur le contenu éditorial.

Le comité de rédaction est composé d’au maximum 10 membres élus par l’Assemblée générale ordinaire, auxquels s’ajoute l’équipe de rédaction de la Scic qui en est membre permanent. La répartition des sièges est la suivante : quatre sièges pour la catégorie des organisations de la société civile, quatre sièges pour la catégorie des professionnels des médias et de l’information, deux places pour la catégorie des abonnés. Le choix des contenus éditoriaux procède d’une dynamique collective basée sur le consensus au sein du comité. Si un arbitrage est nécessaire, le pouvoir appartient au rédacteur en chef.

L’Assemblée générale du 29 mars 2014 a élu au comité de rédaction les personnes suivantes :

  • Catégorie des professionnels de l’information : Anne-Lucie Acar, Fabrice Bugnot, Julie Chansel et Raphaël Mège
  • Catégorie des organisations de la société civile : Educasol, Etudiants & Développement, Gret et Ritimo
  • Catégorie des abonnés : Bernard Gourmelen et Jihane Habachi
Notre équipe

L’équipe salariée est à ce jour composée de

  • David Eloy : Rédacteur en chef
  • Andrea Paracchini : Journaliste
  • Audrey André : Responsable marketing et développement

Elle est épaulée dans son travail par

  • À la plume, par Anne-Lucie Acar, Fabrice Bugnot, Julie Chansel, Philippe Chibani-Jacquot, Anne Darwish, Marie Devers, Edouard de La Rochefordière, Benjamin Fernandez, Sophie Gergaud, Alice Gilloire, Jihane Habachi, Emmanuel Haddad, Erik Lavarde, Franck Lepage, Camille Liewig, Piotr Malewski, Stéphanie Marseille, Raphaël Mège, Philippe Merlant, Sofien Murat, David-Hiver Ouedraogo, Anne-Laure Porée, Sarah Portnoï, Laurence Rigollet, Stépha Rouichi, Fatou Sall, Sylvia Souillet-Désert, Benjamin Sourice et Simon Vinuela
  • À l’objectif, par Camille Millerand, Elodie Perriot, Romain Philippon et Tendance Floue
  • À la maquette, par Cédric Rossi / Atelier des grands pêchers
  • Au correcteur par Patrick Chesnet